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Pour les profs... mes collègues(Mise à jour partielle août 2013) |
[Généralités] - [Quelques définitions] - [D'importants BO] - [Capsule : problématiser]
- Académie de Rennes :
Charte des correcteurs et des examinateurs de l'ÉAF (2012 -.PDF incontournable)
- Projet 2011 pour les secondes et les premières
- Calendrier des examens (session 2003) pour les baccalauréats général, technologique, et professionnel
(note de service n° 2002-237 du 6 novembre 2002 BO n° 42 du 14 novembre 2002).
- Rectificatif pour l'épreuve de littérature de série L : BO n° 47 du 19 décembre 2002
lire vendredi 13 juin 2003, de 14 h à 16 h.
- Définition des épreuves orales obligatoire et de contrôle de français applicable à compter de la session 2003 (note de service n° 2003-002 du 8-1-2003)
- Rectificatif concernant la durée de l'épreuve orale de français des séries ES, L et S BO n° 47 du 19 décembre 2002 : lire, durée : 20 min et non 30 min..
- Informations sur la session 2003 des baccalauréats général et technologique : le point sur les changements qui interviennent pour le baccalauréat, session 2003 (note de service n° 2002-243 du 6 novembre 2002 BO n° 42 du 14 novembre 2002)
De fait, si les objectifs fondamentaux restent les mêmes depuis plusieurs années ("la maîtrise de la langue, la connaissance de la littérature, et l'appropriation de la culture") ils semblent s'organiser sous une forme nouvelle, dans la continuité du programme des secondes depuis 2001, mais sous une forme qui varie de mois en mois (voir les BO et leurs "rectificatifs" ci-dessus) !
Pour les élèves de l'année scolaire 2011-2012, à date, les épreuves de l'ÉAF devraient être peu différentes de celles que nous connaissons depuis juin 2002 : même si ces élèves passeront des épreuves dont la formulation et le contenu évoluent depuis le mois d'août 2010.
Ce qui est stable : les épreuves anticipées de français se composent d'une épreuve écrite et d'une épreuve orale, pour toutes les séries préparant au baccalauréat d'enseignement général ou technologique. La nature des épreuves est identique pour tous les candidats, mais les sujets et les coefficients peuvent être différenciés selon les séries.
Ces épreuves évaluent de moins en moins des lectures toutes faites de textes,
mais de plus en plus
- des "savoirs faire" transférables
(méthode d'analyse de textes : passer de la lecture analytique au commentaire par exemple)
- des "savoirs savants"
(connaissances de l'histoire de la littérature, écoles, genres et courants, textes et documents complémentaires)
acquis en français tout au long de la scolarité et plus particulièrement les contenus du programme de la classe de première :
programme lourd, et de fait, impossible à aborder en profondeur
voir une programmation de 1ère).
En cette année 2011-2012, en 1ère L (français et littérature) : 5 œuvres intégrales, de 6 à 12 groupements de 5 textes... plus les lectures complémentaires,
les documents histoires des arts et documents de l'antiquité... Chapeau Monsieur Chatel, votre irréalisme est convaincant : culture zapping, culture agitation ! Je crois que nous ferons comme avant Vous...
Les sujets sont construits selon le principe suivant :
- un corpus de textes et de documents, y compris iconographiques.
Le nombre de textes proposés dans le corpus peut varier mais n'excède pas cinq.
Ce corpus peut comprendre une œuvre intégrale brève ou un extrait long (n'excédant pas trois pages).
La problématique du corpus est toujours liée explicitement à un ou des "objets d'étude"
du programme de première imposés dans la série du candidat.
- une ou deux questions portant sur le corpus et appelant des réponses entièrement rédigées.
Les questions proposées aux élèves vérifient qu'ils ont pris connaissance de l'ensemble du corpus.
Elles mettent en jeu leurs compétences de lecture, les invitent à mettre en relation les éléments du corpus et
à engager un travail d'interprétation. Elles les préparent ainsi à élaborer leur production écrite.
(cet ensemble est noté sur quatre points en séries ES, L et S et six points en séries technologiques).
- trois travaux d'écriture, au choix du candidat, liés à la totalité ou à une partie du corpus.
Cette production écrite est notée sur 16 ou 14 points (Commentaire, dissertation, invention au choix).
voir sur l'AC de Reims
Les travaux d'écriture consistent en une composition française qui peut être :
- soit une écriture de commentaire à organiser;
- soit une écriture de dissertation ;
- soit une écriture dite "d'invention" (écriture à contraintes).
L'écriture de commentaire porte sur un texte ou un passage d'un texte du corpus, dont la qualité d'écriture justifie cet exercice. Le candidat rédige un commentaire qui rend compte de sa lecture et met en valeur la singularité du texte. Il peut être proposé au candidat, quelle que soit la série, un commentaire comparé de deux textes du corpus. Dans les séries technologiques, un parcours d'étude est proposé pour guider le candidat.
L'écriture de dissertation consiste à composer une réflexion argumentée à partir d'une problématique fondée sur le corpus. Le candidat appuie son développement sur le corpus, sur les éléments du programme de première, sur ses lectures et sa culture personnelles.
L'écriture d'invention consiste à élaborer une production écrite selon une consigne explicite et à partir d'un ou plusieurs éléments du corpus. Ce travail d'écriture peut prendre des formes variées ; il s'appuie sur les objets d'étude du programme de première.
L'épreuve orale (préparation 30 mn) comprend deux temps complémentaires et d'égale importance : l'examen d'un texte littéraire et un entretien (durée 10 mn + 10 mn).
Elle s'appuie sur un document rendant compte de l'ensemble du travail réalisé pendant l'année dans le cadre du projet pédagogique
mis en œuvre dans la classe. Ce document dit "Descriptif Des Lectures et Activités" (l'ancienne "liste"),
conforme au programme officiel, comprend au minimum les objets d'étude imposés dans la série du candidat.
Il précise les textes étudiés en classe et les démarches suivies.
À cette date et pour la session 2012, nous ne savons pas encore (pas de B.O.) comment se répartissent les textes étudiés
entre la première et seconde partie de l'oral...
Commentaire (organisé) oral (durée 10 min, 10pts) :
- dans les séries générales, le candidat est invité à découvrir un texte choisi
de telle façon qu'il puisse mettre en œuvre à son propos ses acquis de l'année.
La longueur du texte proposé est déterminée en fonction de sa cohérence et de sa difficulté.
L'examinateur indique explicitement au candidat l'objet d'étude auquel se rattache le texte proposé
et lui propose par écrit une question d'approche (problématique).
En une dizaine de minutes minimum et maximum, le candidat analyse le texte selon la démarche de son choix (synthétique ou linéaire pour les textes courts).
- dans les séries technologiques, cette analyse porte sur un texte étudié pendant l'année.
L'entretien (durée 10 min, 10pts) permet à l'examinateur d'élargir le cadre de l'interrogation. Il donne la possibilité au candidat, guidé par les questions de l'examinateur, de mettre le texte en perspective par rapport à l'objet d'étude concerné, de faire valoir ses connaissances, d'exprimer une sensibilité et une culture personnelles.». Il s'agit bien ici "d'un entretien" qui sera mené par le prof : l'élève n'aura pas l'occasion de réciter une leçon.
Sources d'information voir par exemple :
- eduscol.education.fr
- Académie d'Aix...
La lecture méthodique | Pratique d'analyse méthodique ("examen méthodique") d'un texte devant un groupe classe...
Cette démarche interlocutoire qui interroge sur les sens du texte n'est pas "en passe de tomber en disgrâce" : notre didactique n'est pas prête encore à se passer "d'expliquer du texte" ou "d'expliciter du texte" ; elle s'appelle peut-être "analyse méthodique" du texte maintenant ou "lecture analytique" ou "intensive" (par opposition à la lecture cursive dite "extensive" ou "buisonnière")... Mais l'activité reste la même : faire (avec les élèves) des choix de sens (travail sur les réceptions, les contextualisations...) en fonction d'une problématique "clairement exposée", en s'appuyant précisément sur des remarques de fond et de forme. Elle est (reste) une des pratiques fondatrices de notre didactique (matrice de discipline). |
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La lecture analytique |
Elle peut s'appliquer à des œuvres, pour l'étude d'œuvres intégrales (en ce cas, elle ne s'étendra pas sur plus de trois ou quatre semaines), ou à des textes brefs, ou à des extraits organisés en groupements de textes. Il s'agit d'une pratique d'analyse et de conduite d'interprétation avec le groupe élève. "Elle vise à développer la capacité de lectures autonomes". L'étude d'œuvres intégrales associe la lecture cursive et diverses démarches de lecture analytique." (B.O. - Août 2010) Toute lecture analytique ne débouche pas sur le seul commentaire (oral ou écrit) d'un texte, mais elle est nécessaire en amont de celui-ci : elle peut aboutir à un résumé (réseau argumentatif), à l'étude du style, à la recherche du projet auctoral... points qui permettront d'argumenter un commentaire, une dissertation... Notons que depuis 2000 et l'introduction des "objets d'étude", la lecture analytique est assujettie à l'entrée de lecture qu'implique cet objet d'étude (en 2011 première : Le texte théâtral et sa représentation, du XVIIe siècle à nos jours.) : la problématique et donc la lecture, s'orienteront en fonction de cet ancrage spécifique. Par exemple, l'étude de la scène d'exposition du Dom Juan de Molière dans la perspective de l'objet d'étude "Le texte théâtral et sa représentation" ouvre sur des probématiques textuelles (expression du désaveu : comment Sganarelle montre-t-il une réprobation ambiguë ?) et techniques (rôle de la scène d'exposition, fonction des portraits : comment Sganarelle en offrant un portrait de DJ se peint-il lui-même ?) Mais n'est-ce pas ce que nous avons toujours voulu faire ? | |
Commentaire (oral, écrit) | S'il a perdu (depuis 2000) son qualificatif de ''composé'', un ''commentaire de texte'' suit une démarche organisée : il s'agit de déconstruire, puis de reconstruire le texte sous l'angle d'une problématique qui, sans épuiser tous les sens du texte, l'éclairera par ce projet argumentatif (limité). L'un des enjeux de cet exercice (écrit ou oral) portera sur la pertinence de la problématique, l'organisation de la réponse et donc l'efficacité de la résolution de la problématique ... "Composé" semblait insister sur la forme, (réponse) "organisée" semblerait insister sur le circuit argumentatif ? "Vous ferez le commentaire de..." n'insiste explicitement sur rien mais ne nous y trompons pas : nous attendons (nous correcteurs) une démarche rigoureuse, pertinente... "Le commentaire peut prendre des formes d'organisation variées (On soulignera qu'il n'y a là aucune nouveauté) : plan en deux ou trois parties, ou élaboration plus souple d'un mouvement qui épouse la construction du sens..." (pour citer les ''annales zéro''). On parle maintenant de « réponse organisée », dans le BO, réponse donc à une problématique énoncée dès l'introduction ?... | |
"Étude ordonnée" | (Ressources.CNED) En lettres, on commence à parler de "commentaire organisé" en lieu et place de "commentaire composé"... "Composé" semblait insister sur la forme et "organisé" semblerait insister sur le circuit argumentatif ? De toutes les façons je ne vois pas l'une exclure l'autre ! |
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La lecture cursive | Dite "buissonnière" en collège ou encore "extensive" (dans les textes officiels)... "Elle est la forme libre, directe, courante de la lecture ; il convient de la développer et d'en donner le goût et l'usage familier, afin d'inciter à la lecture, des élèves qui n'en ont pas toujours l'habitude. Elle n'amène pas à analyser le détail du texte ni à en mémoriser les contenus, mais vise une saisie du sens dans son ensemble. Elle peut s'appliquer à des documents et textes brefs et des extraits, mais son objet essentiel est la lecture d'œuvres." (B.O. - 12 Août 99). Elle ne semble pas alors demander grand "professionnalisme" en collège puisqu'elle ne vise qu'à "une saisie du sens dans son ensemble" : sa pratique en classe de français permet la paraphrase légitimée (ajustement du sens évident à partager) et parfois un commentaire précis, plus riche... (pointer un réseau de sens plus caché)... En lycée ce n'est pas le sens qu'on doit lui donner ! C'est une "lecture accompagnée" : elle est menée et validée en classe, elle répond à une consigne (problématique ?) qui interroge l'élève. Elle aide à résoudre une difficulté de sens, elle tisse des relations d'un texte à l'autre, par exemple. (B.O. - 03 janvier 02) |
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La lecture personnelle | C'est une lecture "libre", elle vient en complément culturel ; elle est souvent "conseillée" par l'enseignant." Ces "lectures et activités personnelles" ne sont plus indiquées par l'élève ou le professeur, sur le "Descriptif des Lectures et Activité. |
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Les lectures documentaires | "Elles doivent être développées et devenir un moyen courant d'information. Elles font appel aux dictionnaires, encyclopédies, banques de données (sur support papier et numérique) et à la presse. Elles permettent une meilleure contextualisation des œuvres, favorisant ainsi leur interprétation (elles peuvent être cursives ou analytiques)" (B.O. - 12 Août 99) Elles demandent certainement un travail en collaboration avec nos collègues documentalistes... spécialites de la RDAO ! (RDAO : Recherche Documentaire Assistée par Ordinateur) |
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La lecture de l'image. | "Elle prend appui sur des supports divers, des images fixes ou mobiles. Elle s'attache à dégager les spécificités du discours de l'image et à mettre en relation l'expression verbale et l'expression visuelle." (B.O. - 12 Août 99) L'image peut décrire, raconter, informer, expliquer, chercher à convaincre, avoir une fonction symbolique... et toujours éclairer un "objet d'étude". Elle ne sera pas (encore) l'enjeu d'une réponse organisée dans le cadre de la première partie des ÉAF | |
La lecture tabulaire | comparer des textes, des personnages, des thématiques... Elle doit impérativement se conclure par un travail de synthèse sur les effets que peuvent produire le rapprochement de ces informations collectées... (axe vertical et ou horizontal du tableau). (voir le groupement de textes, J. Jordy, CRDP Toulouse, 1991 p. 132, p. 222...) |
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Une capsule | Ces modules (Prezi, ppt, vidéo ou podcasts, schémas, pdf...) restent accessibles pour les appareils nomades (ordinateur, smartphone...) afin que les élèves puissent les consulter à l'école, au CDI ou chez eux (connexion Internet, document numérique distribué...). (Terme emprunté à la pédagogie inversée) |
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Une problématique
référent / référé |
Une problématique : c'est une interrogation légitimée par un ensemble dit "référent" (culture, définition encyclopédique, données, horizon de savoirs, outillage, question de cours ) qui va permettre de confronter ce référent vérifiable à une autre réalité "le référé" plus original, moins canonique (un texte, un sujet de dissertation, une pensée, un groupement de textes ) à ce référent. Par cette confrontation référent / référé, le questionnement (problématique littéraire ici) devra dégager l'intérêt du référé : - problématique externe (qui interroge une culture) : "En quoi ce texte est-il représentatif du XVIIIe siècle ?" (Le référent est ici "ce que l'on sait du XVIIIe" ; le référé le texte étudié ; le projet : la recherche des idées des Lumières présentes dans le texte à analyser) - problématique interne (qui, souvent en lettres, interroge la fiction) : "Dans quelle mesure s'exprime ici la liberté de penser du personnage ?" (à propos, par exemple, de Don Juan ou de Valmont : le référent étant ici la pensée de l'institution politique et religieuse des XVIIe ou XVIIIe siècles (voire contemporaine...) ; le référé la pensée du personnage du texte à analyser), faite de l'alliance d'une pensée conforme à l'idée de "libre pensée" - en jaune donc - et d'une pensée décalée - en bleu sur le schéma. La formulation d'une problématique commence facilement par "dans quelle mesure", "en quoi" ou " ("En quoi ces lettres sont-elles bien des poèmes ?"). Voir des "problématisations" sur phm.lettres à propos de l'argumentation ou du roman... (par exemple) |
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Problématiser / Problématisation | Problématiser : c'est s'offrir, en une phrase ou deux, un projet d'analyse (angle d'approche, coup de projecteur) qui va questionner intelligemment (de façon pertinente) un (ou des) texte(s) afin de construire un commentaire (à composer, à organiser), ou un sujet (dissertation) qui soit une réponse organisée à cette problématique. Intelligemment laisse à supposer que le travail proposé (l'argumentation) ne "défoncera pas des portes ouvertes", s'appuiera sur des indices trouvés dans le texte (citations), ne paraphrasera le récit et ne fera pas tout (ou trop) dire au(x) texte(s), mais tentera de donner une approche sensée (parmi d'autres possibles) qui enrichisse la (re)lecture. |
Capsule proposée pour la classe :
Depuis 2011 Les derniers Bulletins Officiels encadrant les E.A.F.
(Voir aussi sur le CNDP)
Liens dans la page
Coefficient
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Des sites externes pour nous aiderphm.lettres Un site de lettres pour les premières
Derniers BOCharte des correcteurs de l'ÉAF (Ac. Rennes - 2012 -.pdf)
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BO de janvier 2003
Épreuve orale : durée 20 minutes ; préparation 30 minutes ;
coefficient 2 : séries L, ES, S, STT, spécialités action et communication commerciales, action et communication administratives ;
coefficient 1 : séries STL, SMS, STI, hôtellerie, techniques de la musique et de la danse, STT, spécialités comptabilité et gestion, informatique et gestion.
(Pour le ministre de l'éducation nationale, et par délégation, Le directeur de l'enseignement scolaire Jean-Paul de GAUDEMAR)"
Épreuve écrite coef 3 en L
Dispense de certaines épreuves du baccalauréat général à compter de la session 2002 de l'examen
( intégralité du texte)
Épreuves de français (écrit et oral) applicables à compter de la session 2002 des Épreuves Anticipées de Français des baccalauréats général et technologique
( intégralité du texte) Modifications par une note de service (voir ci-dessus "coefficient")
BO N°43 du 22 novembre 2001
BO n° 1 du 3 janvier 2002 sur l'organisation des épreuves
janvier 2003 nouvelle organisation
Conditions de correction :
BO N°46 du 13 décembre 2001, définition de l'épreuve orale
BO du 27/12/2001 : "Le descriptif des lectures et activités" modèle à interpréter...
En 2002 :
Les Descriptifs des Lectures et Activités (DdLA), organisés par séquences et problématiques (et non obligatoirement par objet d'étude), sont à envoyer aux rectorats (en 1 exemplaires) pour la fin mai (voir vos secrétariats d'établissement).
Chaque examinateur devrait recevoir ses "descriptifs" (DdLA) et sa convocation environ 10 jours avant les oraux afin de pouvoir préparer ses questionnements. Il n'aura que 3 à 4 descriptifs au maximum et n'interrogera que ;c) 7 à 8 candidats par ½ journée. Cela nous ménagera ;c) du temps en fin de ½ journée pour remplir nos bordereaux...
La question d'entretien posée (par écrit) au candidat (puis signée par lui) devra être suffisamment large pour permettre à un entretien de s'amorcer : il s'agit bien ici "d'un entretien" qui sera mené par le prof., l'élève n'aura pas l'occasion de réciter une leçon.
En 2003 :
BO de janvier 2003
10 mn sans question préalable
Aujourd'hui : ici pas de changements importants.
Les livrets scolaires pour l'examen du baccalauréat général
leur usage
leur présentation
Tous les ans lors des consignes de correction pour l'ÉAF (Sujets difficiles ou mal élaborés) il nous est demandé d'être indulgent dans notre évaluation ! Et tous les ans la fraude par les candidats sera encore plus contrôlée et sanctionnée, nous dit-on...
De l'usage du "Zéro" en pédagogie... Quelques précisions
Le zéro peut-être une note qui relève d'un contrôle des connaissances, mais pas une sanction disciplinaire.
"Il convient [...] de distinguer soigneusement les punitions relatives au comportement des élèves de l'évaluation de leur travail personnel. Ainsi n'est-il pas permis de baisser la note d'un devoir en raison du comportement d'un élève ou d'une absence injustifiée. Les lignes et les zéros doivent également être proscrits."
( le texte complet)
BO N°47 du 20 décembre 2001
Programme d'enseignement du français en classe de première des séries générales et technologiques :
intégralité du texte
Sanctions disciplinaires
Sanctions disciplinaires
À mettre à jour ?
En terminale les élèves auraient la possibilité de choisir le français comme matière optionnelle au bac (depuis la session 2002) et voir ainsi les résultats obtenus à l'ÉAF l'année précédente être gommés...
Voir le B.O. N° 24 du 14 juin 2001 (in "Enseignements élémentaire et secondaire ")
Citation : "2) Le baccalauréat technologique toutes séries
Trois modifications seulement interviendront pour cet examen :
- nouvelle épreuve anticipée de français. Des exemples de sujets seront diffusés pour compléter l'information des professeurs et des élèves ;
- possibilité, au second groupe d'épreuves de l'examen, de faire également porter son choix de rattrapage sur les épreuves écrites anticipées ;
- pour la danse..."
À mettre à jour ?
BO N°46 du 13 décembre 2001
BO N° 1 de janvier 2003 qui n'est peut-être pas si clair que ça sur le contenu de la "liste"...